La pluralité masculine, elle connaissait, vu que cette jolie vendeuse bretonne est libertine jusqu’au plus profond de son être. Ce qu’elle voulait essayer vraiment, c’est la double-pénétration : une bite dans le cul, une autre dans la chatte. Car oui, même quand on fréquente les clubs échangistes, il est parfois difficile de trouver deux mecs capables d’offrir une vraie belle double-pénétration. Ça demande un certain… doigté !