Que diriez-vous si, pendant que vous vous branlez dans un cinéma porno, une salope faisait son apparition devant l’écran, en chair et en os, les seins à l’air, munie d’un panneau « libertine à gangbang » ? Vous vous diriez sans doute que c’est une chienne vide-burnes, j’imagine. Dans mon cas, vous auriez raison. Ils m’ont tous traitée comme la dernière des trainées. Et j’ai aimé ça.

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