Ophélie, libertine bruxelloise, nous a été envoyée par son mari candauliste avec une lettre. Celle-ci, écrite sous la dictée par son époux, comprenait 100 fois la phrase : « je suis une pute et je mérite d’être punie ». Après avoir vérifié que l’amatrice était effectivement consentante, nous avons pris ces mots au pied de la lettre. Nous avons puni cette pute au cours d’un gangbang extrême, pendant lequel nous l’avons baisée par tous les trous.

candaulisme et sadomasochisme

« Je suis une pute », « baisez-moi comme une salope », « je veux être une grosse chienne et être punie » : voilà des mots qu’il arrive de retrouver dans la bouche d’amatrices de pluralité et de gangbang. Soufflés ou non par un mari dominateur, ces mots marquent le début d’un jeu où une épouse, le plus souvent « bien sous tout rapport », assouvit son fantasme de soumission sexuelle.

Ainsi, le candaulisme s’accompagne souvent d’un rapport de soumission / domination. Toutefois, ce n’est pas toujours dans ce sens là que les choses se jouet. Parfois, c’est au contraire le « cocu » qui devient le soumis.