Nous voici chez Sonia, une musicienne (elle est pianiste) d’Auxerre qui se trouve aussi être, comme par hasard, très libertine. La belle nous offre un gâteau fait-maison, dont nous prendrons une double-ration. Ce qui n’est rien par rapport à ce que va prendre la pianiste. Pour elle aussi, ce sera double-ration, mais de bites ! Qui pourrait croire qu’une telle nana se montrerait aussi accroc à la queue, aussi avide de sucer des bites et de se les prendre par tous les trous ? Décidément, une libertine peut se cacher derrière n’importe quel genre de femmes.

des bites et des libertines

Certaines féministes peuvent toujours sa gausser du culte que vouent les hommes à leurs bites. Pour fréquenter le milieu libertin depuis déjà de longues années, j’ai croisé, quant à moi, des coquines qui vouent une véritable passion pour le sexe des hommes. A ce point là, ça frôle le fétichisme.

On sait que dans la symbolique occidentale, le pénis prend un tour guerrier. Pour elles, c’est autant une friandise qu’une arme destinée à les pénétrer. Il faudrait que les sciences sociales s’intéressent à ces femmes. Je suis persuadée qu’en interrogeant Sonia en détail sur sa passion, on apprendrait pas mal de choses qui ferait avancer le combat pour l’émancipation féminine. Freud n’a plus qu’à bien se tenir !