Notre équipe reste pour un moment en Espagne, où il semble facile de trouver des amatrices volontaires pour être initiées à la soumission publique. Après une promenade nue et offerte dans la rue, on conduit donc cette charmante blonde dans un bar, fréquenté par un public d’étudiants et de personnages « alternatifs » pour une séance de torture et d’exploitation sexuelle dont rêvait notre libertine débutante.

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torture et soumission

Les termes sont forts, mais il ne faut pas perdre de vue que tout cela est un jeu. Non, bien entendu, les pratiques subies par cette amatrice ne sont en rien simulées. Mais si on utilise des mots comme sévices ou exploitation sexuelle, il ne faut pas oublier que l’esclave peut faire cesser le jeu à tout moment.

Non seulement c’est une garantie pour elle de pouvoir s’échapper de sa condition de soumise, mais c’est aussi la certitude que le maître et la maîtresse n’iront pas trop loin, sous peine de faire se terminer prématurément la séance BDSM.