A l’époque, le milieu libertin français était très en marge, réduit à la portion congrue de couples qui assumaient leur sexualité débridé, leurs envies de partouzes, de gangbangs (on n’appelait même pas ça comme ça). Alors quand un groupe de documentaristes français a proposé à une grande chaîne public de tourner un reportage sur ce milieu libertin, ça a été un non d’office. Du coup, ils se sont rabattus sur une version plutôt porno du reportage, version qui s’est échangée longtemps sous le manteau, avant d’être disponible ici.