De temps en temps, je prends carrément une journée de congé à mon boulot pour aller assouvir mon vice et ma passion du gangbang. Bien sûr, pour être certaine de ne pas repartir frustrée, j’annonce à mes abonnés la date, l’heure et le lieu du rendez-vous, même si je sais que je vais aussi faire des rencontres impromptues. Arrivée dès le matin dans ce parc pour un gangbang, je n’en suis repartie qu’en fin de journée, alors que la nuit commençait à tomber.

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dogging slut

le gangbang est un sport de combat

Ne pratiquant pas moi-même (ou très occasionnellement) le gangbang, je suis très admirative de libertines comme Marion. Parce que, franchement, je trouve que la pluralité masculine – à ce point – a quelque chose d’un vrai sport.

Imaginez-vous un peu à la place de cette gourmande.Une journée entière à branler, sucer des bites. Une journée entière à se faire prendre en levrette et en missionnaire. Voilà qui doit être crevant !