C’est sans doute le double effet de l’ambiance parisienne, libérée et tolérante, voire un tantinet libertine, et de la génération J&M. Anaïs, jeune coquine de la vingtaine, parle de sexe comme si elle parlait d’art, de mode ou de bouffe : « passer son temps libre avec des bites dans la bouche ? ça fait partie de la vie, non ? ». Et notre jeune parisienne émancipée ne fait pas que parler de sa vie libertine : elle la montre ! Et ce n’est pas une double-pénétration qui va la faire rougir, croyez-nous !