Salut les cochons ! Moi, on me surnomme Coquinette, mais j’aime aussi qu’on m’appelle salope, vide-couilles et ce genre de choses. Car, malgré mes 50 ans, j’aime le sexe extrême. Me voici dans une première vidéo de candaulisme, dans les rues de Paris. A la caméra, mon mari, qui aime me voir me faire tringler par des tas de mecs. Au volant, un copain de baise. Et dans ma bouche, puis dans ma chatte et mon cul, un gars dragué la veille dans un club échangiste. Du candaulisme extrême, là, devant mon homme, à deux pas des gens qui marchent dans la rue. Hyper excitant.

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libertines de France

Le boum du candaulisme

Comme beaucoup de libertines françaises, Coquinette est adepte – entre autres choses ! – du candaulisme. Ce mot a été forgé sur le mythe du roi Candaule, qui venait espionner sa femme avec son amant. Car, de fait, c’est bien le mari de Coquinette qui est cando. C’est lui prend plaisir à voir son épouse s’envoyer en l’air avec d’autres hommes. Comme quoi, en matière de relations candaulistes comme dans bien d’autres pratiques libertines (je pense ici au gang-bang, par exemple), c’est la soi-disant victime qui mène réellement le jeu.