Cela faisait un moment que nous avions envie d’organiser cette partie-carrée libertine entre, d’une part, Julie et Stephen, couple échangiste parisien, et d’autre part, Diane, MILF coquine et notre hardeur, bien connu des fans. Sauf que Julie a lu tous les romans du cycle Emmanuelle, et croit beaucoup au rôle du chiffre impair dans une orgie réussie. Nous avons tiré au sort un abonné du site, qui a pu se joindre – gros veinard – à nos festivités érotiques.

le chiffre impair dans l’érotisme

Dans Emmanuelle, on explique comment le sexe ne trouve sa plénitude que dans un nombre impair de participants. En d’autres termes, le sexe ne serait bon que tout(e) seul(e), à trois, à cinq, sept, neuf… Exit donc pour E.Arsan la partie-carrée.

De ma vie libertine, je ne peux pas faire un tel constat. A 2, à 4, 6 ou 8 (ou 100 !), le sexe peut être aussi très réjouissant.